lundi 20 juin 2016

Etape 33: Lac de l'Oule – Barèges

18km / M 860m / D 1140m / 1,7km/h




Cette journée fut celle des superlatifs:
- de temps parfaitement ensoleillé, sans être trop chaud
- de paysages époustouflants: je vous laisse découvrir!
- de traversées de névés
- de chemin malaisé en caillasses, qui remonte alors qu'il est censé descendre.

Temps vraiment appréciable après ce que j'ai (et nous avec mes amis des étapes précédentes) vécu!



Vue le matin depuis la terrasse du refuge de l'Oule: pas mal!




Vue sur le barrage de l'Oule, toujours le matin.




Le lac de l'Oule, en partant.






Au col d'Estoudou: premier petit ravitaillement.




Panorama depuis le col de l'Estoudou.




Le lac Aimar en montant vers le refuge d'Orédon.




Le col de Madamète, c'est tout au fond (on aperçoit le chemin qui monte en diagonale).




Lac d'Orédon accessible en voiture (j'ai aperçu des cyclistes).






Lac d'Orédon vu de son autre extrémité en montant au col de Madamète.


Pour les névés, il semble que je sois arrivé au bon moment avec la neige qui a commencé à ramollir. Et sous le soleil, on voit bien le relief des alentours. Côté montée, j'ai utilisé avec bonheur les crampons que je transportais dans mon sac-à-dos depuis plus de 500km. Avec eux, on monte comme sur un chemin normal puisque on ne glisse pas (je précise, avec la neige actuelle relativement molle). En descente, pas de crampons utiles, la pente des tronçons concernés étant beaucoup plus faible.



J'approche du col: premier névé.




Lac à moitié gelé; si, si, le chemin passe dans les caillasses à droite. On voit le col enneigé au fond.




Chemin à gauche en se retournant et toujours le lac gelé.




Toujours le chemin à droite!




Montée dans le névé et le col au fond; remarquer le personnage sur l'une d'entre elles; les photos ne rendent pas la réalité de la pente.






Le col vu de l'autre versant: encore des névés à traverser en descendant!


Quant au terrain très caillouteux, il m'a fait souffrir, surtout vers la fin où on commence à être fatigué. C'est ainsi que lorsqu'un randonneur (merci Henri!) m'a proposé de m'emmener à Barèges depuis le Pont de la Gaubie où il avait laissé son véhicule, je n'ai pas vraiment hésité, même si c'est une petite entorse au GR10 (1h environ d'après le topo-guide)!
Au gîte L'oasis à Barèges, nous serons 2: Jean-Pierre, 77 ans, et moi le cadet; il fait une virée de 2 semaines chaque mois de juin, où il est tranquille pour l'hébergement.



Vues de mon coin de pique nique en descendant: sympa! 




1 commentaire:

  1. En effet c'est superbe ! il n'y a plus de doute ,t'es une bête de course et même si tu rencontres l'ours , c'est toi qui auras le dessus !

    Jean

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